« On le connaît en particulier pour ses portraits, ses scènes de vie, ses paysages expressifs et pour ses monochromes ou ses bichromies… mais ce qui qualifie le mieux Didier est un besoin débordant de partager son plaisir de peindre et ça se voit dans ses réalisations, ça bouge, c’est osé et c’est fort ! »

 

Parce que la couleur est parfois superflue, parce que la vie n'a nul besoin de fard pour s'imposer, parce que certaines émotions n'apparaissent qu'en LUMIERES NOIRES, seul le jeu entre ombre et clarté me passionne…

 

À ce jeu tout est permis : des constructions graphiques très énergiques, des absences partielles, des ouvertures, des blancs justifiés (ou non) par mon goût pour des solarisations excessives. Une quête de hauts contrastes qui souvent me pousse à une saturation abusive des pigments, y compris du noir à peine nuancé par quelques traces colorées. J’aime la couleur mais parfois le noir et la seule couleur qui s’impose !

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Ma peinture est excessive mais vivante, elle me ressemble…